Cette suerte al capote interprétée par "Gallito" à Séville en 1914, était très appréciée à l'époque puis abandonnée au profit de la véronique, chicuelina et gaonera. (Bu, en argot andalou de l'époque signifie fantasme)
Aujourd'hui, alors que l'aficion se lasse d'un toreo géométrique, quasi mathématique et souvent monotone, Morante a ressuscité le Galleo del Bu qui, servi par le génie peut susciter un courant d'intérêt pour le retour à une certaine préciosité du toreo de cape. Un courant d'air frais qui peut être quelque chose de nouveau qui donnerait davantage d'intérêt à las suertes de capote.
Le toreo, en plus d'être de l'art est aussi du spectacle !
D'après la chronique de Paco Mora
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Le: 27/06/18