Visiteurs: 304857
Aujourd'hui: 3
 
Désireux de participer au Téléthon par esprit de solidarité, nos toreros nationaux avaient formé une équipe, sous la houlette de Manu Faure, pour participer à un tournoi amical au mythique stade Jean Bouin de Nîmes, totalement relooké, en mode pelouse synthétique…



Debout, de gauche à droite : Manu Faure « Le Blond », manager général et délégué à la restauration à la Terna, Patrick Champ, ex-pro et organisateur, Thomas Dufau, Christian Romero, Chico Leal, Rafael Viotti et Pierrot Faure, ex-pro, père du Blond, conseiller technique et préposé… à l’apéro !

Accroupis : Eddie Vera, Emma Faure, Juan Bautista, Frédéric Arpinon et Maxime.





Quand football et toros font parfois bon ménage…

On en a eu encore la preuve ce samedi où plusieurs toreros ont formé une équipe pour la bonne cause, celle du Téléthon, comme relaté dans les nouvelles. C’est tout en leur honneur, malgré ce que pourront en penser certains grincheux. Et grincheuses…

En Espagne, la chose est assez courante, ce qui a d’ailleurs permis à certains maestros de montrer quelques talents balle aux pieds. Dernier projet en date, la rencontre qui se déroulera à Chiclana vendredi prochain et qui mettra aux prises toreros et artistes pour venir en aide aux familles les plus défavorisées au moment de Noël…



Mais outre le caractère caritatif et solidaire de cette manifestation, les toreros ont tenu à la placer aussi en signe de soutien à leur compañero Juan José Padilla, comme on peut le voir sur l’affiche. Rentré chez lui pour se reposer après l’opération subie il y a peu, le Cyclone de Jerez devrait entrer bientôt en phase de rééducation. Et forcément, tous les messages de soutien sont toujours d’actualité. A commencer par ceux de ses confrères… Encore et toujours, Fuerza Padilla !!!

http://www.torofiesta.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1382:foot&catid=68:chroniques&Itemid=67

tem40 Le: 04/12/11


Dans leur attitdude paroxystique, en obtenant l'abolition, les pourfendeurs de la corrida creuseraient le tombeau du "Bos Taurus Ibericus".
Si les surfaces de terres réservées à l'élevage du taureau brave se sont réduites,cette activité agricole continue de rester extensive.
A part quelques riches intervenants qui ont accaparé le marché des grands circuits, peu de ganaderos arrivent à rentabiliser leur travail si ce n'est d'y adjoindre des actvités annexes et complémentaires qui permettent de faire bouillir la marmite.
Elitiste exigence, que celle d'envoyer la majorité du cheptel à l'abattoir pour fournir les boucheries du coin, et ne garder que la crème pour espérer voir un jour sortir ses animaux dans une arène.
Alors que ce type d'élevage est vital pour la conservation d'eco-systemes et constitue un vrai garde-fou écologique, c'est toujours une anachronique folie de se lancer dans ce travail harassant de plus de peine que de joie, de plus de déception que de gloire.La sortie en piste est l'aboutissement d'un long processus conduit par l'amour du métier et des taureaux.

Difficile à comprendre pour qui ne cherche pas à creuser, mais bien plus respectable, qu'il n'y parait pour les ennemis de la tauromachie.
La sauvagerie de la corrida si incompréhensible soit-elle pour un non ititié est indispensable à la survie de l'espèce.
Sans la finalité de l'arène le taureau brave ne s'effacerait-il pas au profit d'un animal domestiqué?
Du taureau sauvage au charolais il n'y aurait qu'un pas sûrement vite franchi.
Avoir du coeur n'est pas un monopole et n'en déplaisent, à ceux qui ne voudront jamais l'entendre et l'admettre, l'aficionado aime le taureau, sûrement bien plus que celui qui ne veut plus de la corrida.
Paradoxal peut-être, mais ausi complexe que "l'amour vache"!
http://lamonteraquipleure.blogspot.com/

tem40 Le: 03/12/11


Pour aider à financer les frais inhérents à l’ILP qu’ils ont lancée, les responsables de la « Federación Taurina de Catalunya » ont décidé de vendre sous la forme d’enchères la tête de « Jocinero », du Duc de Veragua, premier toro à être lidié dans la plaza « Las Arenas » de Barcelone, le 29 juin 1900.
Une pièce exceptionnelle mise à prix 18.000 €. Pour tout contact ou ordre d’achat : 93 321 17 09 - mail : info@federaciotaurinadecatalunya.es

Etre obligé de vendre ses meubles n’est jamais bon signe…

En l’occurrence, il ne s’agit pas de meubles, mais ça revient au même. Car devoir se séparer par le biais d’une enchère d’un objet cher, d’un symbole, d’une icône, pour pouvoir payer des frais d’envoi et de fonctionnement inhérents à l’ILP, j’avoue que je ne comprends pas très bien.

Et à la Fédération Taurine de Catalogne, on doit se poser quelques questions. Moi, la seule que je me pose, vu la modicité de la somme (voir nouvelles), c’est pourquoi tous ceux qui ont profité d’un biais ou d’un autre des mannes de la Monumental de Barcelone, empresa, toreros et autres professionnels, avec parfois à la clé un gros chèque à la sortie, ne sont pas sollicités pour que ceux qui se battent pour la tauromachie dans un endroit où elle est plus que remise en cause puissent sortir la tête de l’eau.

Car directement ou indirectement, en défendant les toros, c’est bien leur profession qu’ils défendent aussi. Ce qui ne serait en définitive qu’un minime et juste retour d’ascenseur, non ?

http://www.torofiesta.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1378:encheres&catid=68:chroniques&Itemid=67

tem40 Le: 02/12/11
Emouvantes obsèques de Diego Puerta à Séville avec notamment une ultime vuelta al ruedo à la Maestranza, son cercueil étant porté par Tomás Campuzano, Macandro, Esaú Fernández, El Almendro, la banderillero El Pío et le novillero Fernando del Toro… puis un dernier passage par la Porte du Prince sous les cris de « Torero ! Torero ! »



Ont notamment assisté au dernier hommage, à la mairie où était dressée une chapelle ardente ou à l’église de San Bernardo, Paco Camino et ses fils, El Viti, Litri père et fils, Espartaco, Emilio Muñoz, El Cid, Curro Romero, Manuel Benítez El Cordobés, Pepe Luis Vázquez, Andrés Vázquez, Manili, Martín Pareja Obregón, Salvador Cortés, Alfonso Oliva Soto, Emilio Silvera… ainsi que de nombreux professionnels, banderilleros, piqueros, ganaderos, personnalités politiques, aficionados… pour un ultime adieu. Un grand maestro qui a marqué l’histoire de la tauromachie…

http://www.torofiesta.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1377:arles-taurodelta-puerta-deuil-michelito-ponce-jocinero-quito-presidence-expo&catid=1:nouvelles

tem40 Le: 02/12/11


La mort de Diego Puerta m'invite à écrire autre chose que de convenu ou statistique - on le trouvera par ailleurs. Il fut de ceux qui déterminèrent mon amour pour la Fiesta Brava - on l’appelait encore ainsi - et sans doute ma vocation. C’était en 1962 ou en 1963, lors d’une San Firmin inoubliable où m’avait mené mon grand-père, aficionado émérite, en compagnie de la famille Lurot (est-ce la bonne orthographe ?) dont les plus anciens aficionados bordelais se souviennent.

En ces temps il n’y avait pas de hordes de touristes, on buvait à la gourde du bon vin Rioja et au marché à l’ail on achetait une tresse que l’on portait fièrement autour du coup. La plaza n’avait pas été rehaussée et, du clocher qui la surplombe, les pères en soutane regardaient gratuitement le spectacle. Je n’avais que onze ans mais je me souviens du nom des héros de ces deux jours mémorables : Paco Camino, El Viti, Firmin Murillo, Mondeño et Diego Puerta qui avait été doublé. Quelle brochette !

Je me souviens de l’intrépidité de Puerta qui avait triomphé. Il illustrait parfaitement ce principe fondamental du toreo, terrible quand on y songe : vaincre ou mourir. On lui prête ces mots : « je sortirait par la Grande Porte ou par celle de l’infirmerie ». Voilà comment cet homme, fils d’un employé de l’abattoir de Séville, est mort dans son lit, dans son quartier de San Bernardo, après avoir essuyé 53 blessures - dont quatre qui auraient pu être mortelles -, conquis la gloire, la fortune et l’estime de ses confrères.

Il en est un autre qui « laisse son corps à l’hôtel » et dont ne compte pas les blessures. « Nous ne sommes pas là pour voir mourir quelqu’un » entend on souvent sur les gradins, à son égard. Et pourtant, Diego Puerta ne laisse-t-il pas le témoignage d’un homme simple, transcendé par le combat, prêt à mourir pour triompher ? Ce don de soi n’est il pas la meilleure justification de la tauromachie ? La seule qui vaille ?


Les restes mortels de Diego Puerta ont été transportés à la mairie de Séville où ils ont été accueillis par le maire de la cité, ce mercredi soir vers 19 heures. Ils sont exposés au public dans une chapelle ardente. De nombreux toreros parmi lesquels Espartaco, Ortega Cano et El Viti, très émus se sont recueillis devant le cercueil. On notait aussi la présence du ganadero Eduardo Miura. Une messe aura lieu demain à 12 heures, à l'église de San Bernardo car il était membre de la Hermandad de ce quartier, après une procession dans la ville.


pierre


http://www.corridasi.com/news/news.php

tem40 Le: 01/12/11
 «  1  2  3 ... 627  628  629  630  631  632  633 ... 688  689  690  »
Image aléatoire
Galerie
Recherche