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«Si le maestro Juan José Padilla a besoin de mon œil, allons-y, je suis là et dès demain je le lui donne.» Une aficionada de Villanueva de Cordoba, borgne à la suite d’une rupture d’un vaisseau sanguin de son œil droit, s’est dite prête à l’offrir à Padilla, «le Cyclone de Jerez», après sa terrible blessure du 13 octobre à Saragosse, où le coup de corne dans la tête d’un toro d’Ana Romero lui a détruit le côté gauche du visage et s’est arrêté à quelques millimètres de son cerveau. Padilla, qui a perdu l’usage de son œil gauche, désorbité par la corne, est sorti le 19 octobre de l’hôpital de Saragosse pour intégrer des cliniques spécialisées dans l’ophtalmologie à Oviedo et Valence. On ne sait pas encore s’il recouvrera la vision de son œil, mais Padilla n’a rien lâché. Déclaration : «Je n’en veux pas au toro. On n’en a pas fini avec Padilla. Je reviendrai m’habiller en torero parce que toréer c’est mon bonheur.»

http://www.liberation.fr/sports/01012368076-juan-jose-padilla-le-borgne-du-cyclone

tem40 Le: 28/10/11


Fiesta Campera le 30 Octobre à Gimeaux
Robert Piles fêtera ses 40 ans d'alternative accompagné par la figura del toreo Francisco RUIZ MIGUEL(qui remplacera Chinito blessé), S.F MECA et Morenito d'Arles face à 4 novillos de Gallon.

11h00 : 3 vaches en tienta
13h00 : repas champêtre : 15 €
15h00 : 4 novillos : 10 €
Réservations : 04.90.93.95.58.

tem40 Le: 28/10/11
Discours du philosophe Françis Wollf en mars 2010 devant le Parlement de Catalogne sur notre lien articles-autour des toros.
TOUT EST DIT !!!!!!!!

tem40 Le: 28/10/11
Par-delà les arguments de communication et les éléments de langage, le débat imposé à la classe politique mexicaine par une poignée d'élus opportunistes de l'opposition, montre bien que le principal objectif de ses promoteurs est toujours le même : faire parler d'eux.

Et pour y parvenir, le bouillant Cristian Vargas, surnommé le "Dipuhooligan" - tout un programme - a organisé des meetings aux quatre coins de l'immense mégapole pour expliquer à une population qui vit sous la menace permanente des cartels de tous ordres, que tuer les toros ce n'est pas bien. Et pour enfoncer le clou, dans un pays où la vie humaine a si peu de prix, il n'hésita pas à affirmer que s'il fallait marcher sur le cadavre de quelqu'un pour parvenir à ses fins, il n'hésiterait pas.

Le quelqu'un en question, Rafael Herrerias, n'a jamais été un ingrat et n'est pas davantage susceptible de se laisser impressionner : dans sa jeunesse, après avoir été cascadeur, il devint garde du corps de la grande figura que fut Manolo Martinez, avant de devenir son homme de confiance, puis d'escalader les marches de la fortune grâce aux connaissances que celui-ci lui ménagea dans les arcanes du pouvoir. Et Herrerias, des "Dipuhooligans", il en mange un tous les matins.

Le 7 octobre dernier, la Comisión de Administración Pública Local, présidée par José Luis Muñoz Soria, ne put passer au vote de la motion de Vargas, faute de quorum, et le Dipuhooligan accusa les absents de s'être laissés corrompre par quelque groupe empresarial, et accusa nommément Herrerias d'être un assassin.

Si cela avait été vrai, il aurait suffi à ce dernier d'un petit rouleau de dolars glissés dans la poche de quelque sicario, et le Dipuhooligan, à l'mage de quelques journalistes et bloogers trop critiques à l'encontre des cartels, aurait été retrouvé égorgé et suspendu sous la porte principale de la Monumental par exemple.

Mais Herrerias n'est pas un assassin, pas plus que les professionnels du toreo, tandis que le doute subsiste sur de nombreux ténors de la politique au Mexique dont les liens avec les cartels ont toujours été assez flous. En revanche, Herrerias est un homme d'affaires avisé, habile et parfois téméraire, qui sait aussi dialoguer, ce qui explique sans aucun doute le retournement de veste du Dipuhooligan qui a été accusé par le président de la Commission d'avoir lui-même cédé à la "mordida", en acceptant le "billetazo" qu'on le soupçonne d'avoir recherché depuis le début de son initiative.

Ce qu'il a bien sûr nié, invoquant le droit au travail et à la liberté pour justifier son opposition à la motion qu'il a lui-même présenté et qui sera mise aux votes d'ici à deux semaines, si le quorum est réuni bien sûr. Pour sa part, José Luis Muñoz, président de la commission, a déclaré : "Nous déplorons l'attitude de Cristian, car elle signifie deux choses : soit il s'est vendu comme il en a accusé les autres, soit il présente des projets de loi sans contenu, par simple envie de faire parler de lui".

Bien sûr, les trois députés du Partido Verde Ecologista de México qui soutenait le Dipuhooligan dans son initiative ont confirmé qu'ils "voteraient bien pour l'abolition des corridas" avec ou sans lui. À moins que quelqu'un, est-on tenté de penser, ne leur propose de tondre gratuitement leurs pelouses.


André Viard

http://www.terrestaurines.com/forum/actus/actu.php

tem40 Le: 27/10/11
Émission TENDIDO SUD n°270 du mercredi 26 octobre 2011 sur TV SUD



Une nuit beaucairoise sous le signe du Toro

Invités : Morad Bourmel (représentant des Affaires taurines de la Ville de Beaucaire), Romain Fluet « Román Pérez » (matador de toros), Rachid Ouramdane « Morenito d’Arles » (banderillero).



Pour regarder l’émission de la semaine dernière, dédiée à Hubert Yonnet, cliquez sur ce lien du groupe « Les Aficionados de Tendido Sud » : http://www.facebook.com/group.php?gid=35562251711

Véritable ovni de fin de saison, la Noche campera taurine de Beaucaire a connu un formidable baptême du feu en 2010. Sous la lune et aux pieds du château, les toreros, vêtus de ville, avaient livré un véritable festival, à flanc de roche, sous les accords flamencos du groupe nîmois « Dáme la Mano ». Une course sur laquelle « Tendido Sud » revient en détails, avec le faenón de Mehdi Savalli et les meilleurs moments de cette soirée placée sous le signe du duende. Des toreros arlésiens qui s’étaient retrouvés il y a quelques jours de cela sur le sable des arènes de Saint-Étienne-du-Grès à l’occasion du premier festival taurin organisé dans cette cité provençale à l’afición affirmée. Un peuple du Taureau qui s’est exprimé la semaine dernière afin de protester, en silence, contre les agressions anti-taurines de Nîmes et Rodilhan, autour de la statue de Nimeño II, en présence de nombreux élus. Un moment fort capté par les caméras de « Tendido Sud ».

tem40 Le: 26/10/11
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