Derniers articles http://www.torosenmimizan.fr Derniers articles (C) 2005-2009 PHPBoost fr PHPBoost OKSANA SHAPIRO aficionada russe http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=210 http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=210 <p style="text-align:center"><strong>OKSANA SHAPIRO<br /> La tauromachie et la Russie</strong><br /> <br /> </p><em>La tauromachie, comme fait artistique et culturel, n&#8217;est pas restée seulement circonscrite dans les pays où elle est présentée, Amérique et Europe. Comme thème photographique, elle a été traitée par une infinité de photographes de pays du monde mais, peu d&#8217;entre eux, décident de faire un pas de plus et de faire de la tauromachie un des principaux champs de création, tentant de développer leur propre langage photographique afin de nous montrer leur vision du monde du taureau. Oksana Shapiro, photographe russe, qui depuis des années est captivée par la tauromachie, commente sa trajectoire professionnelle et son approche du toro.<br /> </em><br /> &#8230;<strong>En 2007, avec une amie, en voyage en Espagne, nous allâmes visiter des amis résidant à Malaga et avec eux nous allâmes voir une corrida de toros. Je ne pensais pas voir quelque chose de spécial, mais, ce jour-là, je découvris mon futur destin : le miracle, l&#8217;art, la beauté me captivèrent.<br /> Quand je vis le toreo pour la première fois, je réalisai que c&#8217;était un Art magnifique. Une corrida de toros est une représentation unique dont on ne connaît pas la fin. Le cinéma, le théâtre, la musique ou un livre ont tous une fin créée antérieurement. C&#8217;est seulement dans la tauromachie, que Dieu, la Personne, le Toro et le Spectateur, tous ensemble sont les créateurs d&#8217;une représentation artistique « en direct ».<br /> Quand je revins en Russie, je décidai que mon travail professionnel devait avoir une relation avec les toros&#8230; En Russie, les personnes instruites connaissent la tauromachie à travers les &#339;uvres de Lorca, Goya et Picasso. Hemingway fut un auteur très lu en Russie, grâce à lui, l&#8217;image du matador de toros est familière à beaucoup de lecteurs. D&#8217;autres pensent que le torero est un criminel qui martyrise les animaux. Moi, je n&#8217;eus jamais cette opinion. Quand je vis pour la première fois un torero affronter un danger mortel, je réalisai que je ne savais rien d&#8217;eux. Avec le temps, j&#8217;ai appris que ces personnes, les toreros, sont spéciaux car ce sont des artistes, des créateurs et des héros. Ils risquent leur vie pour créer de l&#8217;art. Des hommes qui sont prêts à mourir non pour la guerre mais pour la beauté, la philosophie et l&#8217;art. Mais, ils sont pleins de vie. Dans leur âme, il y a de la beauté, un drame, un style. Chaque torero est « l&#8217;oeuvre d&#8217;art »&#8230;.<br /> <p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/fandino_oksana_shapiro.jpg" alt="" class="valign_" /></p><br /> Lors d&#8217;une de mes dernières conférences, après avoir montré mes photographies, une des spectatrices s&#8217;approcha et me dit : « Quand je suis arrivée, je détestais les corridas de toros et les matadors, je pensais que c&#8217;était un spectacle absurde et cruel. Après votre conférence j&#8217;ai découvert une autre réalité et je suis tombée amoureuse du toreo. J&#8217;ai décidé que j&#8217;irai en Espagne voir des toros. »<br /> Je pense que ceci est le résultat de mon travail, je suis très satisfaite .<br /> </strong> Sun, 17 Apr 2016 18:04:01 +0200 L'aficion d'Orson Welles http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=180 http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=180 <strong>6 mai 2015: on commémore le centenaire de la naissance d'Orson Welles, une des plus prestigieuse personnalité du cinéma du XXème siècle. Ce génie fut aussi un grand aficionado à la Fiesta des toros allant mène jusqu'à toréer comme becerrista. Il fut très lié avec les grandes figuras de l'époque comme Luis Miguel Dominguin et surtout Antonio Ordoñez.<br /> A sa mort, survenue à 70 ans d'une crise cardiaque, ses cendres furent déposées à Ronda, dans la finca du Maestro Ordoñez.</strong><br /> <p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/orsonwelles12_thumb_730.jpg" alt="" class="valign_" /></p><br /> <p style="text-align:center">Avec Rita Hayworth, son épouse</p><br /> <br /> <br /> <p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/orsonwelles_ordonez.jpg" alt="" class="valign_" /></p><br /> <p style="text-align:center">Avec Antonio Ordoñez</p><br /> <br /> <!-- START HTML --> <iframe width="640" height="360" src="https://www.youtube.com/embed/L79irQVH7WM?feature=player_embedded" frameborder="0" allowfullscreen></iframe> <!-- END HTML --><br /> <br /> Mundotoro Thu, 07 May 2015 08:22:01 +0200 Le jour où Mohamed Ali découvrit le toreo http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=142 http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=142 <p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/ali_herrera_480.jpg" alt="" class="valign_" /></p><br /> <p style="text-align:center">(Photo Maria Herrera)</p><br /> <br /> Il y a 36 ans, moment-clé qui unit 2 disciplines, le toreo et la boxe qui possèdent bien de qualités communes: le sacrifice, l'honnêteté, le risque et la présence sous-jacente de la mort.<br /> Ali, l'un des plus grands boxeurs de tous les temps était à Bogota pour un combat d'exhibition . Un programme d'activités avait été prévu, dont le toreo, bien entendu. Ainsi, Ali arriva à la finca Vista Hermosa et Jorge Herrera brinda la lidia d'un novillo au "<strong>plus grand sportif de ce siècle</strong>". Celui-ci vibra durant le combat criant et ponctuant la faena de "<strong>Bravo!"</strong>Ali ne souhaitait pas que le diestro tue l'animal; c'est alors que celui-ci attrapa violemment Herrera qui subit une forte voltereta. Le sportif accepta alors la conclusion logique de la lidia qui fut couronnée de 2 oreilles et la queue que le torero offrit au boxeur qui déclara mi plaisantant mi sérieux: "<strong>Je suis courageux, mais vous l'êtes davantage pour oser approcher un animal plus dangereux que Joe Frazier."</strong><br /> <br /> source: mundotoro Thu, 14 Nov 2013 11:21:53 +0100 Lady Bullfighter http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=123 http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=123 <p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/lady_bull.jpg" alt="" class="valign_" /></p><br /> <br /> Patricia Mac Cormick était une texane décédée dans sa petite ville de Del Rio mercredi 23 mars 2013. Elle était atteinte du syndrome d'Alzheimeir. Ce fut une des plus importantes matadors de toros nord-américain qui n'ait jamais existé. Née à San Luis, Missouri, en 1931 elle débuta professionnellementen septembre 1951 dans les arènes "Alberto Balderas", à Ciudad Juarez au Mexique -état de Chihuahua-. Elle totalisa plus de 300 prestations au cours d'une carrière qui dura 10 ans. Elle va toréer surtout au Mexique et au Vénézuela. <br /> <br /> Elle a subi six cornadas dont une de très grave pour laquelle elle reçut l'extrême-onction. Elle a surtout toréé dans les arènes du Mexique et du Vénézuela. Elle écrivit un livre autobiographique qui s'appelle "Lady Bullfighter", en 1954. Elle s'est retiré dans sa cité texanne en 1957 où elle s'est dédiée à la peinture et à la sculpture. Elle a présenté ensuite de nombreuses conférences sur la tauromachie aux Etats Unis. Sur la photo prise le 2 juin 1957, Patricia apparaît dans les arènes de Ciudad Juarez pour ce qui, pour certains hitoriens de la corrida, fut sa dernière prestation.<br /> <br /> R. I. P. Patricia<br /> <br /> Pierre Vidal<br /> <br /> Source et photo l'excellent site mexicain <a href="http://www.suertematador.com/">http://www.suertematador.com/</a> Wed, 03 Apr 2013 13:46:01 +0200 Les taurins d'Israël par Nacho Lloret http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=120 http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=120 Je reviens à la maison après 2 semaines intenses de Fallas et, c&#8217;est le moment de revoir ce qui est arrivé et ce qui a été publié au jour le jour. Entre tant de chroniques, de commentaires, de twits, il y a quelque chose qui m&#8217;a frappé profondément. La vidéo promotionnelle que nous avions faite, à l&#8217;occasion de l&#8217;événement « Toros para niños »a été Trendic topic (sujet tendance) en Israël !!!...<br /> La première question que chacun se pose : y a-t-il des taurins en Israël ??? Sincérement, je ne savais pas que le toreo était un thème de conversation entre les israéliens et j&#8217;ai du mal à imaginer les rabins dans les synagogues débattant de la faena de Morante le jour de la saint Joseph&#8230;<br /> Sans le vouloir, quand nous avons fait quelque chose de différent, dynamique, frais, jeune et original pour communiquer et promouvoir le toreo, les frontières ont disparu&#8230; et nous avons découvert un nouveau foyer de taurinos, jusqu&#8217;à là ignoré&#8230; et rien de moins qu&#8217;au Moyen Orient.<br /> Enfin, il résulte qu&#8217;en mettant quelques enfants à toréer et quelques jeunes à danser dans la Plaza, nous nous connectons à la société actuelle et nous nous ouvrons au monde. Que c&#8217;est facile et difficile à la fois !!<br /> Que la leçon nous serve : ce qu&#8217;on attend de nous est moins de discours érudits et de communication dirigés vers une minorité mais qu&#8217;on ouvre davantage l&#8217;esprit et qu&#8217;on situe le toreo dans la vie et le loisir du XIXème siècle avec les armes et les méthodes d&#8217;aujourd&#8217;hui.<br /> Malgré la marginalité où nous semblons confinés, malgré les attaques des antitaurins chaque jour plus agressifs, fascistes , malgré tout ce qui nous arrive, on a la preuve que, quand nous sortons e nos tranchées et nous montrons au monde sans complexes, nous en sortons plus forts car nous communiquons l&#8217;irrépressible et incomparable vitalité du toreo, un spectacle capable de séduire n&#8217;importe quel humain qui possède un brin de sensibilité dans le lieu le plus inattendu de la planète.<br /> Voilà le message que nous ont envoyé les taurins d&#8217;Israël.<br /> Nous ne les oublierons pas et nous travaillerons aussi pour eux.<br /> <br /> Source aplausos<br /> Traduit par tem40 Tue, 26 Mar 2013 13:35:42 +0100 L'histoire du Syrien:"Adieu à la Syrie pour être torero" http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=88 http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=88 <p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/syrien.jpg" alt="" class="valign_" /></p><br /> <br /> <strong>"Au lieu de sortir dans la rue avec mes amis, quand je revenais du collège, je restais à regarder les corridas de toros à la télévision</strong>"<br /> Ainsi naquit, dans la petite ville d'Alep, au nord de la Syrie, l'aficion pour le toreo de celui qui, aujourd'hui, est banderillero, Hazem Al Masri.<br /> [...] <strong>"Je devais avoir 10 à 11 ans, je changeais de canal pour ne pas m'embêter quand, un jour, sur le Canal International de TVE, on diffusait une corrida de toros; Je fus saisis: c'était de la magie. Bien que plus tard je découvris que tout était réel, sur l'instant, je fus choqué mais c'était d'une beauté fascinante de voir la plaza pleine de monde, les costumes de lumière des toreros et surtout comment ils se mettaient face à un toro avec deux cornes avec un drap rouge pour seule arme; je n'ai pas tardé à me dire que je voulais être l'un d'eux".</strong><br /> "<strong>D'abord, je ne crois pas que le toro soit mal traité, mais il est évident que la vie d' un animal ne pourra jamais se comparer à celle d'un humain et je suis très peiné qu'ils (les antis) emploient tant d'énergie à protéger les toros élevés pour mourir avec honneur dans une plaza et qu'ils ne soient pas révulsés à entendre comment meurent, chaque jour, leurs frères en Syrie"</strong><br /> <br /> Source: La Razon<br /> Publié par Paco Montesinos.<br /> <br /> <a href="http://divisiondeopiniones.blogspot.fr/">http://divisiondeopiniones.blogspot.fr/</a> Wed, 19 Sep 2012 12:50:01 +0200 L'Irlande s'habille de lumières. http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=79 http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=79 <strong>L'Irlande s'habille de lumières</strong><br /> <br /> <p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/el_irlandes.jpg" alt="" class="valign_" /></p><br /> <br /> C'est arrivé au mois de mai 2012 dans la ville de Ciudad Real. Un début qui n'a rien de courant puisqu'il s'agissait d'un novillero d'Irlande du Nord vêtu de lumières et dénommé David White. Ce qui prouve que l'aficion et la passion pour la Fiesta ne connaît pas de frontière.<br /> On raconte qu'en 2000, en voyage à Madrid, il assista à une corrida à Las Ventas et fut fasciné à tel point que commença à germer dans sa tête l'idée de se mettre devant une becerra et tenter sa chance d'abord en el Campo puis dans une plaza.<br /> Dix ans plus tard, ceux qui l'ont vu toréer assurent qu'il a de la valeur. Sa présentation se termina en coupant 3 oreilles et par une sortie triomphale à hombros.<br /> Son succès trouva des echos dans les différents médias et télévisions de son pays et du Royaume Uni.<br /> <br /> Source: mundo toro<br /> <br /> <em>N'aurait-il pas un lointain ancêtre espagnol rescapé de l'Invincible Armada et ayant trouvé asile sur les côtes irlandaises ?<br /> on peut toujours rêver !!!</em> Tue, 19 Jun 2012 16:16:01 +0200 Robert Ryan: torero yankee. http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=60 http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=60 ROBERT RYAN : torero yankee<br /> <br /> <p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/296880_237465292978293_227765910614898_728735_558292287_n.jpg" alt="" class="valign_" /></p><br /> <br /> Robert Ryan naît en Californie le 13 août 1944.<br /> Son goût précoce pour le dessin, les livres et les animaux l&#8217;amène tout naturellement à l&#8217;art taurin. <br /> <br /> <p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/robert_ryan2.jpg" alt="" class="valign_" /></p><br /> <br /> Sans se soucier des frontières, renonçant à une bourse, il commence ses pérégrinations à travers les pâturages mexicains. <br /> A 17 ans, c&#8217;est déjà un novillero expérimenté. Selon l&#8217;hebdomadaire El Redondel c&#8217;est « le meilleurs torero parmi ses contemporains qui se sont dédiés à la fiesta brava ». Matador de formation classique, il est encouragé par les maestros Jose Ortiz, Carlos Arruza et Pablo Lozano qui apprécient en lui des qualités qui « peuvent l&#8217;amener au sommet du toreo ».<br /> <br /> <p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/rr3.jpg" alt="" class="valign_" /></p> <br /> <br /> En 1966, sa présentation à la Monumental de Mexico constitue selon Juan Pellicer de Marchena « un vibrant épisode de l&#8217;art du novillo ». Il démontre, écrit Guillaume Salas qu&#8217;il est « un torero qui connaît le métier, qui a du charme, des possibilités, de la facilité et de l&#8217;intuition. » « Un torero à la sensibilité très accentuée » « à l&#8217;investissement exemplaire »<br /> Aux aficionados xénophobes Rebato Leduc avertit : « qu&#8217;il ne reste plus qu&#8217;à l&#8217;applaudir »<br /> <br /> <p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/rr2.jpg" alt="" class="valign_" /></p><br /> <br /> Dès 1967, il est matador des toros. Après deux temporadas, le critique Caireles écrit : « Il est à tu et à toi avec les fondamentaux de la toreria. Avec ce diestro s&#8217;effondre le mythe : pour être torero il faut être latin »<br /> <br /> <p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/rr5.jpg" alt="" class="valign_" /></p><br /> <br /> Selon Carlos Fernandez Valdemoro l&#8217;art de Robert Ryan « naît précisément de son esprit sensible qui crée par stimulation vitale » et lui confère la faculté de s&#8217;exprimer aussi bien avec l&#8217;épée qu&#8217;avec le pinceau, montrant dans les deux arts une indubitable originalité »<br /> <br /> <p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/rr_1.jpg" alt="" class="valign_" /></p><br /> <br /> De nombreux musées et galeries de bien des pays exposent son &#339;uvre picturale et, retiré du toreo, il développe son autre vocation qui a donné pour premier fruit son livre « Vestigios de sangre »<br /> <br /> <p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/livre.jpg" alt="" class="valign_" /></p> <br /> <br /> <p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/robert_ryan.jpg" alt="" class="valign_" /></p><p style="text-align:center"><br /> <img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/ryan.jpg" alt="" class="valign_" /></p> Tue, 27 Dec 2011 13:01:01 +0100 La tauromachie en Chine. http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=55 http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=55 <p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/pekin.jpg" alt="" class="valign_" /></p><br /> <br /> PEKIN S'INTERESSE AUX TOROS<br /> <br /> L'ambassade d'Espagne en Chine et L'Institut Cervantes de Pekin organisent jusqu'au 3 mars, des journées taurines ,"Toros desde la Barrera", proposant des expositions de photos, projections cinématographiques, bibliographies et tables rondes.<br /> "Toros desde la barrera" invite à la réflexion par le biais de la tauromachie sur les diverses positions éthiques et esthétiques de la société actuelle et prétend rapprocher la culture du toro aux accents espagnols du public chinois qui n'en semble pas si éloigné. En effet, les ethnies Miao et Dong célèbrent encore les combats de taureaux lors de leur fête locale.<br /> Parmi les films proposés pat l'Institut Cervantes notons le documentaire "Fiesta" de Luis Cerezo, "Matador" et "Hable con ella" de Pedro Almodovar, "Belmonte" de Juan Sebastian Bollain ou "Jamon, jamon" de Bigas Luna et des classiques du genre de "Tarde de toros" de Ladislao Vadja ou des documentaires comme "Ella es el matador" de Gemma Cubero et Celeste Carrasco.<br /> La bibliothèque Antonio Machado proposera une sélection de bibliographies sur le monde de la tauromachie et des oeuvres de Picasso, Goya et Garcia Lorca entre autres. Sun, 04 Dec 2011 17:02:23 +0100 Toreo à Hyde Park avec le Club Taurin of London http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=45 http://www.torosenmimizan.fr/articles/articles.php?cat=10&id=45 « Ça fait deux ans que je m&#8217;entraîne au toreo de salon deux ou trois fois par semaine en été, un peu moins en hiver. J&#8217;ai fait la connaissance de Pepe (Pepe Saborit matador des toros) lors d&#8217;un événement du CTL. Avoir l&#8217;opportunité de s&#8217;entraîner mano à mano avec un matador de toros est excellent. Pepe est un grand personnage et un professeur inspiré »<br /> <span style="text-decoration: underline;">Steven Church</span><br /> <br /> « Je fais un à trois tenderos par an avec les membres du Club Taurin of London et avec le novillero irlandais David White. Pas une seule fois nous n&#8217;avons eu de réactions négatives, seulement des positives. Les gens prennent des photos et font preuve de curiosité et d&#8217;intérêt. En vérité, on peut dire que c&#8217;est un mouvement taurin qui va croissant à Londres »<br /> <span style="text-decoration: underline;">Martin Schwitzner<br /> <br /> <br /> </span><p style="text-align:center"><img src="http://www.torosenmimizan.fr/upload/londres.jpg" alt="" class="valign_" /></p><br /> <br /> « Ma motivation pour publier cette photo est de manifester un geste de solidarité et de soutien à tous les aficionados internationaux. Mais j&#8217;avais un autre motif. Une photo affiche « fuerza Padilla », un détail que j&#8217;ai introduit pour montrer que les aficionados du monde entier pensent à Juan Jose Padilla et leur envoient leur soutien et leur tendresse. »<br /> <span style="text-decoration: underline;">Lucy Burman photographe et membre du Club Taurin of London</span>. Mon, 31 Oct 2011 12:59:01 +0100