L'internationale antispéciste
Faut-il déclarer mort le mouvement anti-taurin et décréter qu'il ne faut plus désormais en parler ? Le mal vient-il d'ailleurs ? Mais d'où ? Ce serait nier la réalité. On voit que partout la mouvance "antispéciste" s'active : en Espagne, à Bilbao cette année, en France, à Béziers, Carcassonne et Mimizan (et ailleurs), en Amérique Latine, Equateur et Mexique, car c'est une Internationale. Elle obtient des succès considérables puisque elle a réussi à faire fermer les arènes de Barcelone, à empêcher les mises à mort à Quito, menace l'avenir de Saint-Sébastien et celui de Fréjus. et s'attaque désormais à Nîmes.
Certes les antis ne sont pas nombreux, mais leur détermination et leur violence ne faiblit pas, au contraire. Leur diminution numérique s'accompagne d'une dérive terroriste. On peut le dire: ils font peur, n'hésitant pas à franchir la ligne jaune d'un débat "démocratique" : menaces de mort, voies de faits, perturbation de lieux de cultes, intimidation des élus et des commerçants, etc. Ils font peur même aux forces de l'ordre qui, comme on l'a vu à Mimizan, tolèrent des manifestations pourtant prohibées. Auraient-elles la même attitude avec des salariés en grève ou avec des agriculteurs en colère ?
Les antis ont des stratégies subtiles et savent choisir leurs cibles. Ils bénéficient d'appuis puissants et de moyens financiers considérables. Bien sur, pour la plupart, il s'agit d'esprits faibles manipulés par de pseudos penseurs obsédés par leurs droit d'auteurs et leur promotion et que l'on attend encore dans une manif. Pour eux la fin justifie les moyens.
Faut-il les ignorer ? On aimerait bien; mais c'est impossible. L'insulte, la menace, la baffe dans la gueule, la violence sous toutes ses formes exigent une réponse pour le moins, voir une riposte -car trop c'est trop ! Il est indispensable qu'elle se fasse dans l'unité. C'est un combat qui dépasse le cadre de la tauromachie car dans quel monde vivrons nous si une minuscule minorité impose sa loi par la violence à la société dans son ensemble ?
Pierre Vidal
Certes les antis ne sont pas nombreux, mais leur détermination et leur violence ne faiblit pas, au contraire. Leur diminution numérique s'accompagne d'une dérive terroriste. On peut le dire: ils font peur, n'hésitant pas à franchir la ligne jaune d'un débat "démocratique" : menaces de mort, voies de faits, perturbation de lieux de cultes, intimidation des élus et des commerçants, etc. Ils font peur même aux forces de l'ordre qui, comme on l'a vu à Mimizan, tolèrent des manifestations pourtant prohibées. Auraient-elles la même attitude avec des salariés en grève ou avec des agriculteurs en colère ?
Les antis ont des stratégies subtiles et savent choisir leurs cibles. Ils bénéficient d'appuis puissants et de moyens financiers considérables. Bien sur, pour la plupart, il s'agit d'esprits faibles manipulés par de pseudos penseurs obsédés par leurs droit d'auteurs et leur promotion et que l'on attend encore dans une manif. Pour eux la fin justifie les moyens.
Faut-il les ignorer ? On aimerait bien; mais c'est impossible. L'insulte, la menace, la baffe dans la gueule, la violence sous toutes ses formes exigent une réponse pour le moins, voir une riposte -car trop c'est trop ! Il est indispensable qu'elle se fasse dans l'unité. C'est un combat qui dépasse le cadre de la tauromachie car dans quel monde vivrons nous si une minuscule minorité impose sa loi par la violence à la société dans son ensemble ?
Pierre Vidal
Ecrit par: tem40, Le: 01/09/11
