SANLUCAR
SANLUCAR UNE FORCE D'ATTRACTION SANS EGAL
POUR LES TOREROS DU MONDE ENTIER
Chaque jours (sauf le dimanche) à l’ouverture des portes, Rubio, depuis plus de vingt ans, concierge de la plaza del Pino les voit arriver, capotes et muletas sous le bras, espadas et banderilles à la main pour investir le ruedo.
Ils viennent souvent de loin , des quatre coins de l ‘Espagne mais parfois d’encore beaucoup plus loin . Certains arrivent d’une nation nordique : la France, mais d’autres ont carrément traversés l’Atlantique pour se retrouver à transpirer sur le sable de cette petite arène de légende . Mais quelle légende ? En fait on ne sait pas !
Elle n’a que 6500 places, ni Joselito, ni Manolete ( ni personne heureusement) n’y sont morts . Quoiqu’il en soit ils font des kilomètres pour venir à Sanlucar, s’y fixer quelques jours, quelques semaines, certains plusieurs mois, d’autres même une partie de leur vie, pour y trouver l’inspiration nécessaire à réaliser leur folie : toréer mieux.
De Zaragoza, de Linares, Salamanca, de Madrid, de Caracas, de Lisbonne, de Mexico, d’Arles, de Bogota ... Mais pourquoi exactement ? Eux mêmes ne sauront vous le dire avec précision mais toujours est il que voilà des décades que ça dure et ça n’est pas prêt de s’arrêter.
Mon ami Miguel Hilario, lui qui, de puis plus de trente ans fréquente la plaza de Pino m’a aidé à établir une liste (absolument non exhaustive) de quelques uns des toreos ( en excluant ceux de Sanlucar..trop facile...) que nous avons (Miguel surtout) vu s’entraîner dans le ruedo Sanluqueño.
Alberto Aguilar, Alfonso Romero, Anibal Ruiz, Arturo Macias (Mexique) Antonio Ferrerea, Alejandro Caro Gil, Califa de Aragua (Vénézuela), Canales Rivera, Cesar Ricon, (Mexique), Chiquilin, Curro Diaz, Curro Jimenez, Domingo Valderama, Daniel Cueva, Davila Miura, Erick Cortes (Venezuela), Enrique Ponce, Emilio Oliva, Fernando Cruz, Francisco Marco, Francisco Montiel, Finito de Cordoba, Francisco Ruiz Miguel, Israel Lancho, Jesulin de Ubrique, Jesuli de Torecerra , Jesus Millan, José luis Moreno, Jose luis Galloso, Juan del Alamo, Julio Benitez, Leandro, Luisito (France) Manolo Sanchez, Miguel Litri, Mario Coelho (Portugal) José Maria Manzanares ( Père et fils) Mathias Tejela, Miguel Abellan, Miguel Tendero, Oscar Higares, Paulita, Pepe Luis Vargas, Rafael De Paula, Pedrito de Portugal (Portugal), Reyez Mendoza, Stephane Fernandez Meca ,(France) Serranito, Sanchez Puerto, El Tato, Torres Jerez, Tomasito ( France) Victor Puerto... et bien d’autres...!
En fait ce sont peut être eux qui sans le savoir, font la légende ? Magique fascinante Sanlucar non ?
J.P.Ferrand
POUR LES TOREROS DU MONDE ENTIER
Chaque jours (sauf le dimanche) à l’ouverture des portes, Rubio, depuis plus de vingt ans, concierge de la plaza del Pino les voit arriver, capotes et muletas sous le bras, espadas et banderilles à la main pour investir le ruedo.
Ils viennent souvent de loin , des quatre coins de l ‘Espagne mais parfois d’encore beaucoup plus loin . Certains arrivent d’une nation nordique : la France, mais d’autres ont carrément traversés l’Atlantique pour se retrouver à transpirer sur le sable de cette petite arène de légende . Mais quelle légende ? En fait on ne sait pas !
Elle n’a que 6500 places, ni Joselito, ni Manolete ( ni personne heureusement) n’y sont morts . Quoiqu’il en soit ils font des kilomètres pour venir à Sanlucar, s’y fixer quelques jours, quelques semaines, certains plusieurs mois, d’autres même une partie de leur vie, pour y trouver l’inspiration nécessaire à réaliser leur folie : toréer mieux.
De Zaragoza, de Linares, Salamanca, de Madrid, de Caracas, de Lisbonne, de Mexico, d’Arles, de Bogota ... Mais pourquoi exactement ? Eux mêmes ne sauront vous le dire avec précision mais toujours est il que voilà des décades que ça dure et ça n’est pas prêt de s’arrêter.
Mon ami Miguel Hilario, lui qui, de puis plus de trente ans fréquente la plaza de Pino m’a aidé à établir une liste (absolument non exhaustive) de quelques uns des toreos ( en excluant ceux de Sanlucar..trop facile...) que nous avons (Miguel surtout) vu s’entraîner dans le ruedo Sanluqueño.
Alberto Aguilar, Alfonso Romero, Anibal Ruiz, Arturo Macias (Mexique) Antonio Ferrerea, Alejandro Caro Gil, Califa de Aragua (Vénézuela), Canales Rivera, Cesar Ricon, (Mexique), Chiquilin, Curro Diaz, Curro Jimenez, Domingo Valderama, Daniel Cueva, Davila Miura, Erick Cortes (Venezuela), Enrique Ponce, Emilio Oliva, Fernando Cruz, Francisco Marco, Francisco Montiel, Finito de Cordoba, Francisco Ruiz Miguel, Israel Lancho, Jesulin de Ubrique, Jesuli de Torecerra , Jesus Millan, José luis Moreno, Jose luis Galloso, Juan del Alamo, Julio Benitez, Leandro, Luisito (France) Manolo Sanchez, Miguel Litri, Mario Coelho (Portugal) José Maria Manzanares ( Père et fils) Mathias Tejela, Miguel Abellan, Miguel Tendero, Oscar Higares, Paulita, Pepe Luis Vargas, Rafael De Paula, Pedrito de Portugal (Portugal), Reyez Mendoza, Stephane Fernandez Meca ,(France) Serranito, Sanchez Puerto, El Tato, Torres Jerez, Tomasito ( France) Victor Puerto... et bien d’autres...!
En fait ce sont peut être eux qui sans le savoir, font la légende ? Magique fascinante Sanlucar non ?
J.P.Ferrand
Ecrit par: tem40, Le: 12/09/11
