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Il y a 50 ans, à Villalobillos, l'ensemble des impresarios se rendirent auprès de Manuel Benitez "El Cordobes" pour le dissuader de se retirer ce qui aurait entraîné leur ruine dans cette période de crise. L'accord fut signé sur l'oreiller du torero, oreiller qui se trouve aujourd'hui au Musée Taurin de Cordoba. Le diestro s'engagea pour 100 après-midi dans toutes les ferias importantes pour la temporada 1967.
La rédaction de Taurologia pose la question: les empresas ne devraient-elles pas se rendre auprès de Jose Tomas lui demandant de s'engager à figurer au cartel des principales ferias qui constituent le noyau dur du négoce taurin, ne serait-ce que pour 25 corridas.
Il est certain qu'il existe d'excellents toreros mais il est prouvé que Jose Tomas est le seul à avoir le pouvoir de faire barrage à la situation critique que traverse la Fiesta.

http://www.taurologia.com/articulo.asp?idarticulo=2649&accion=



tem40 Le: 04/09/13
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