Visiteurs: 305447
Aujourd'hui: 80
 


Rencontre due aux hasards d’un voyage organisé par Mexico, Aztecas y Toros : Mari Paz Vega à Txacala. C’est elle, la Malagueña, longtemps installée à Saragosse, qui nous a reconnu et fait un accueil chaleureux et spontané. Comment ne pas y être sensible ? Nous l’avons toujours soutenue et quand elle fut blessée très grièvement lors d’une de ses rares apparitions en France - la seule peut-être-, à Orthez, nous étions régulièrement dans sa chambre d’hôpital.
Qué pedazo de torera Mari Paz ! Combien de corridas dure tu t’es envoyé sans que la presse ni les professionnels n’en fassent cas ? Combien d’interdits, de méchants sous-entendus, de mépris en raison de ton sexe ? Tu n’as jamais fracassé et même souvent triomphé dans l’indifférence générale. Le Milieu Taurin, décidément, a bien besoin de rajeunir...
Et le Mexique, pays ouvert et tolérant, où on a l'amour des femmes, futur de la fiesta, t’a ouvert ses portes. Tu as triomphé à la Monumental de Mexico et, comme il se doit, tu as désormais des contrats un peu partout en pays Aztèque. Désormais, les bannis y font leur nid : voir le fils Capea dont on dit là-bas le plus grand bien. Peut-être même que tu dépasseras les quarante corridas cette année.
Tout est toujours possible en corrida. Le téléphone peut se remettre à sonner après une longue période de silence. Le vrai courage, et tu en as pour avoir affronté le toros les plus sérieux comme l’opprobre des puissants ou les quolibets des imbéciles, finit toujours par être récompensé.
Mari-Paz on t’aime et tant pis pour les c...
Pierre Vidal
http://www.corridasi.com/news/news.php



tem40 Le: 09/11/11
Thomas Dufau n'ira pas dans son ancienne école. On est tombé sur la tête !!
Image aléatoire
Galerie
Recherche