Toros en Mimizan

A propos de la jeunesse :
D'après moi, il faut changer le monde du toreo et il faut attirer les jeunes. Le toreo n'est pas seulerment ce qui se passe dans le ruedo; il y a bien d'autres questions comme le sacrifice, le respect, la force de volonté qu'il faut léguer aux jeunes, non pour qu'ils deviennent toreros mais pour ce qui peut leur arriver dans la vie."

A propos du mariage et de son fils :
" Je suis heureux bien qu'il me coûte de me séparer de ma femme, de mon enfant, de ma maison. Quand tu as un enfant, cela change bien des choses dans ta vie: quand tu te rends à la plaza pour jouer ta vie, tu penses à ton enfant, mais ce sont des choses auxquelles il faut éviter de penser. Ce qui est certain c'est que je vis une très jolie étape et j'espère que ça continuera."

A propos du G 10 et des conséquences:
"Il est juste que les toreros aient le droit de décider s'ils veulent ou non être télévisés car nous sommes ceux qui jouent leur vie"

A propos de son père :
"Mon père a été pour moi le meilleur torero qu'il y ait eu; il a été le miroir dans lequel je me suis toujours regardé. Moi, comme fils, je suis heureux d'avoir été capable de maintenir le nom de Manzanares, ce qui ne fut pas facile vu le morceau de torero qu'il fut"


http://www.burladero.com/inicio/masnoticias/027486/apostar/atraer/jovenes

Traduit par tem

Photo Javier Arroyo

Bien que blessé au premier toro, Sébastien Castella lidia le quatrième, coupa une oreille et maintint une attitude de figura tout l'après-midi. " J'ai pu, une fois de plus donner la dimension de ce qui m'a amené jusque là! "
Efforts sans récompense pour Manzanares et Talavante.

http://www.aplausos.es/noticia/11962/Noticias/épico-castella-esfuerzos-sin-recompensa-manzanares-talavante.html

"Spectacle 5 étoiles" pour Paco Mora : "Castella, Manzanares et Talavante ont démontré leur condition de figuras"

Jesus Enrique Colombo, jeune prodige de 14 ans en visite en Espagne:
" Pour moi, ce fut un rêve de venir en Espagne. Je repars au Vénézuela enchanté de ce pays si beau et si taurin. Je suis heureux d'être venu dans le berceau du toreo"
" Il faut être trorero dans et hors de la plaza. Il faut vivre en torero."
"El Juli est un modèle à suivre. Etre comme El Juli est le rêve de tout torero"

http://www.burladero.com/inicio/entrevistas/027458/jesus/enrique/juli/modelo/seguir

Plaza de toros de Las Ventas. Sexta de San Isidro. Casi lleno. Toros de El Ventorrillo, basta de hechuras. Mansa, deslucida y con varios ejemplares peligroso. Julio Aparicio, bronca y bronca; Curro Díaz, silencio y silencio y Eduardo Gallo, ovación y silencio tras aviso. Ovación a Julio Aparicio a romperse el paseíllo.

http://www.mundotoro.com/cronica-taurina/festejo-las-ventas-madrid-15-5-2012-el-toro-y-el-iv-reich/38685

Quelques commentaires des protagonistes :

"C'est ainsi, il y a des jours où les choses ne se font pas" Aparicio.

De ma vie, je n'ai rencontré un tel lot" Curro Diaz.

"On a vu la disposition et la vérité avec laquelle je suis venu." Eduardo Gallo.

Saviez-vous que le philosophe grec a été le premier chroniqueur taurin de l’histoire ?

Non ? En bien franchement, moi non plus ! Et pourtant, si l’on en croit Fernando Sánchez Dragó, écrivain et journaliste, impliqué directement dans l’animation culturelle de la Feria de San Isidro, c’est bien ce qui s’est passé sous l’Antiquité !

D’après lui, les toros sont la religion la plus ancienne au monde ! Et pour étayer son propos, il révèle que la première corrida a été relatée par Platon dans deux de ses dialogues dans lesquels il est précisé que la Confédération des Rois de l’Atlantide se réunissait une fois par an pour traiter des problèmes de la nation et tous assistaient dans un amphithéâtre circulaire au spectacle d’un homme muni d’un drapelet et d’un glaive pour combattre et tuer un taureau !

Comme quoi on en apprend tous les jours ! Mais les temps ont bien changé et de nos jours, faute de taureaux, les Grecs ont bien d’autres chats à fouetter… Car si l’Atlantide a été engloutie, la Grèce est actuellement sur le point de l’être à son tour. Avec toutes les conséquences désastreuses qui s’ensuivraient. Une tout autre corrida… avec l’espoir qu’elle n’ait jamais lieu, celle-là.

http://www.torofiesta.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1748:platon&catid=68:chroniques&Itemid=67