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L’aficion biterroise a vécu une belle journée d’aficion en souvenir de Nimeño II…


La peña Nimeño II de Béziers, créée à l’initiative du regretté Jean-Claude Carceller, dit « Pompon », avait programmé en fin de matinée une tienta dans les arènes avec trois vaches de Robert Margé pour les élèves de l’école taurine, avec en premier Dorian Dejean, El Tolosa et Sofianito secondés par leurs compañeros qui ont eu aussi la possibilité d’intervenir.

Sous le regard et les conseils du San Gilen, la plupart d’entre eux ont pu étaler les progrès réalisés et tous ont manifesté une grosse envie. Côté bétail, la deuxième vache s’est avérée supérieure et a permis à El Tolosa d’enchaîner des mouvements ajustés, mais personne n’a démérité.
A l’issue de la tienta, les aficionados se sont regroupés à l’extérieur des arènes pour un moment de recueillement devant le buste de Christian où une gerbe a été déposée par les responsables du club taurin, avec à leur tête leur présidente, Cécile Martinez.



Il n’y avait que l’avenue à traverser pour se retrouver au bar du Plaza, siège de la peña, où la présidente a prononcé quelques mots pour rappeler ce que Christian a représenté pour Béziers, avant que Philippe « El San Gilen » puis Michel Carrière, de la société Ricard, ne prennent le relais au micro.

On pouvait voir dans l’assistance pas mal de présidents de clubs taurins biterrois, ainsi que des aficionados qui se sont joints à cette émouvante marque d’aficion.
Association des Jeunes Aficionados Nîmois

Vingt ans après que Nimeño II nous ait quittés, Béziers a su se souvenir…
http://www.torofiesta.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1367:beziers-quito-jimenez-manzanares&catid=1:nouvelles

tem40 Le: 27/11/11
Prolongation accordée pour le dépôt des signatures de l’ILP promue par la Federación Taurina de Catalunya…

Un délai supplémentaire accordé par la chambre des députés qui prend toute sa signification dans cette course aux signatures qui ne devrait pas être insurmontable si l’aficion espagnole finit par se mobiliser.

Apparemment, ça n’a pas été encore complètement le cas, même si les choses semblent bien avancées, mais dans cette dernière ligne droite, il faut que chacun fasse un effort de diffusion afin que le 26 mars les 500.000 signatures soient une réalité.

Au moins pour le principe, ce succès serait significatif de l’importance de l’intérêt pour les toros, qui de fait existe, mais qui a parfois du mal à être manifesté.

Pour mémoire, l’apport de signatures est facilité par la possibilité de le faire par Internet. Pour cela, cliquez sur http://www.openilp.org/taurinos/proyecto.do?opcion=firma

Même si, étant Français, on ne peut pas participer à cette procédure, il serait opportun que ceux qui en ont la possibilité le fassent savoir à leurs amis espagnols…
http://www.torofiesta.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1368:trois-mois&catid=68:chroniques&Itemid=67



tem40 Le: 27/11/11
Un pas de plus franchi dans l’abjecte débilité…

Aller souiller la statue de Nimeño II en écrivant sur sa chaquetilla « Corrida caca » repousse encore un peu plus loin les limites de la bêtise crasse, voire de l’ignominie. Sous couvert d’anonymat, bien entendu, une déjection picturale qui n’honore pas son auteur et qui trahit une faiblesse d’esprit qui devrait nécessiter d’urgence la contribution de plusieurs thérapeutes…

Voilà où on peut en arriver dans un monde qui par ailleurs tient les tags en tous genres pour d’authentiques œuvres d’art, où barbouiller dans une cage d’ascenseur ou le mur du voisin est à mettre sur le compte d’êtres en soi-disant souffrance ou désespérance, bref, c’est l’éloge à l’étron, au colombin culturel, aux productions merdiques, pour rester dans le sujet.

Celui, ou celle, qui a pondu pareille bouse est certainement loin de s’imaginer ce qu’a été Christian Nimeño II de son vivant, et de ce qu’il a ensuite représenté. Inutile de le rappeler ici, vous, aficionados, le savez aussi bien que moi. Et vingt ans après sa disparition, le souvenir demeure.

Alors finalement, devant la production d’une telle merde, ce barbouilleur de l’ombre devrait voir finalement en son œuvre le fidèle reflet de sa condition, de sa platitude encéphalographique, n’ayant été capable que d’utiliser la seule matière qui finalement lui correspond. Fécale, évidemment.

(Bien sûr, ce matin, la souillure avait disparu. De loin, je préfère une rose blanche...)

http://www.torofiesta.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1366:caca&catid=68:chroniques&Itemid=67

tem40 Le: 26/11/11


> La corrida est gravement menacée de l'extérieur, par les antis, mais ne l'est-elle pas aussi de l'intérieur ?
> A Quito, une féria de corridas sans mises à mort est organisée en novembre-décembre.
> Ce type de spectacle reste-il réellement la corrida ?
> Ces spectacles sans mises à mort risquent de devenir une référence et de préfigurer les corridas de demain. Ils vont donner des arguments aux antis, et une solution tout faite aux politiques de chez nous qui espéreront contenter tout le monde.
> Comment lutter contre cette dérive ? Comment ne pas nous laisser amener dans cette voie ?
> Les toreros qui participent à ces spectacles ont gagné notre respect dans de nombreuses corridas et ont largement démontré leur valeur, leur courage et leurs capacités, mais en participant aux spectacles de Quito, ils y cautionnent la dégénérescence et le début de la fin des corridas.
> Voici les cartels :
> Samedi 26 novembre : Enrique Ponce - El Fandi - Martin Campuzano
> Dimanche 27 novembre : Miguel Abellan - David Mora - Alvaro Samper
> Mercredi 30 novembre : Juan Jose Padilla remplacé par Antono Ferrera - Rafaelillo - Curro Rodriguez
> Vendredi 2 décembre : Enrique Ponce - Sebastien Castella - FJ Hinojosa
> Dimanche 4 décembre : Sebastien Castella - D Ribas - Diego Silveti
> Mardi 6 décembre : El Fandi - Ivan Fandino - Alejandro Talavante
>  

Est-ce que nous, aficionados et public des corridas, devons continuer à aller voir toréer ces toreros lorsqu'ils se produiront en France ou en Espagne ?

Devons-nous laisser nos commissions taurines, nos mairies, les empresas de nos arènes engager, avec l'argent de nos places, les toreros qui, pour gagner un cachet à Quito, acceptent ce compromis intolérable, acceptent cette dérive qui deviendra probablement irrémédiable partout et pour toujours, signant ainsi la fin de notre passion ...
> Aficionados, réagissons !!! Créons le buzz, boycottons, inventons notre expression, mettons une pression pour que ces dérives cessent.
> Transmettez ce mail à tous vos contacts e-mail et contacts sur réseaux sociaux, et envoyez vos soutiens à corridasansmiseamort.nonmerci@gmail.com (vos réponses seront transmises aux toreros et aux empresas)
http://www.corridasi.com/news/news.php

tem40 Le: 25/11/11


Béziers... Un jour d'août... 1989. Les aléas de la vie me plongent contre mon gré en plein coeur de la feria en bon pré-ado réfractaire aux corridas. Soudain, mon regard est happé par la transcendance d'un homme immense... Dans son costume bleu myosotis, Christian Montcouquiol dompte avec sérénité le fauve cornu qui manque de lui arracher la jugulaire à chaque coup de cape... Je ne comprends rien à ce qui passe en piste, mais ce type me transporte, m'émeut, me touche au plus profond de moi. Une première et une dernière fois. Un mois avant un Miura. Souvenir indélébile d'une entrée en afición telle que seule la Fiesta Brava est capable d'inventer. Christian Nimeño à jamais dans mon coeur.

tem40 Le: 25/11/11
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